mercredi 26 janvier 2011

La Dra Rauni Kilde habla sobre la Conspiración de la Gripe Porcina

Un Arma psicotronica Llama La Voz De Dios

EXPERIMENTACION ACTUAL NAZI SOBRE LOS HUMANOS POR PARTE DE LA CIA

COBAYES HUMAINS:des CENTAINES de GUATEMALTEQUES se sont vus INOCULER des MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES par la CIA (+EN ESPAÑOL + ΣΤΑ ΕΛΛHΝΙΚΑ)

http://www.lefigaro.fr/international/2010/10/02/01003-20101002ARTFIG00344-experimentations-washington-s-excuse-aupres-du-guatemala.php
Par Constance Jamet  Le Figaro
03/10/2010
Dans le cadre d’une étude sur les effets de la pénicilline, des centaines de Guatémaltèques se sont vus inoculer des maladies sexuellement transmissibles entre 1946 et 1948, par des scientifiques américains.
Une expérience scientifique vieille de 64 ans pourrait compliquer les relations entre le Guatemala et les Etats-Unis. Washington a présenté vendredi des excuses aux centaines de Guatémaltèques, à qui des scientifiques américains ont transmis des maladies sexuellement transmissibles à la fin des années 40. Ces révélations ont ébranlé les autorités guatémaltèques, qui affirment ne rien connaitre de l’affaire. Le président du Guatemala Alvaro Colom a dénoncé un crime contre l’Humanité et annonce que son gouvernement se réserve le droit de porter plainte .
A l’origine de ce scandale, une étude financée par les autorités américaines entre 1946 et 1948 sur les effets de la pénicilline, découverte en 1928. Les scientifiques se demandent alors si l’antibiotique peut non seulement guérir la syphilis mais aussi prévenir la maladie. Comme la législation américaine n’autorise pas à mener de telles expériences sur l’homme, le directeur de cette étude, le médecin John Cutler, la met en place au Guatemala. Les chercheurs vont sélectionner comme cobayes des personnes vulnérables, tels que des malades mentaux. Environ 696 personnes participent à leur insu à cette étude. L’un des patients au moins est mort, sans qu’il soit établi si l’expérience est elle-même à l’origine de son décès. L’étude, qui n’a jamais été publiée, n’a apporté aucun résultat significatif.
Exposition naturelle
Dans un premier temps, les chercheurs inoculent la syphilis ou la blennorragie à des prostituées et les laissent ensuite avoir des rapports sexuels avec des soldats ou des détenus. Mais lorsque cette exposition naturelle ne produit pas assez de contaminations, les scientifiques changent de tactique. Ils contaminent directement des soldats, des prisonniers et des malades mentaux. Selon les rapports de l’étude, la bactérie de la syphilis à été apposée sur des zones du visage, du bras ou du pénis des patients qui avaient été abrasées.
Les scientifiques, dont les recherches étaient financées par des Instituts américains de la santé, n’auraient pas expliqué en détail leur projet aux responsables guatémaltèques et auraient fait des dons de matériels.Les cobayes ont été traités avec de la pénicilline mais l’étude ne précise pas si cela a suffi à les guérir, affirme Susan Reverby. C’est cette historienne américaine, qui a découvert l’expérimentation et a alerté les autorités américaines.
Un sombre chapitre de l’histoire de la médecine
Susan Reverby a retrouvé les comptes-rendus du docteur John Cutler, en enquêtant sur une autre des études, toute aussi contraire à la déontologie, à laquelle il a participé : l’expérimentation de Tuskegee. Entre 1932 et 1972, des scientifiques américains ont suivi 600 afro-américains atteints de la syphilis. Aucun de ces sujets n’était au courant qu’ils étaient porteurs de la maladie. A aucun moment les médecins n’ont proposé de les soigner. L’expérience guatémaltèque n’est pas isolée, rappelle le directeur des instituts américains de santé, pour qui son homologue de l’époque a sans doute été mis au courant. Selon le … Francis Collins, qui déplore un sombre chapitre de l’histoire de la médecine, une quarantaine d’expériences d’inoculation délibérée ont été organisées aux Etats-Unis, dans les années 40.
L’étude menée au Guatemala, était clairement contraire à l’éthique et répréhensible, ont dénoncé la secrétaire d’Etat Hillary Clinton et la ministre de la Santé Kathleen Sebelius. Bien que ces événements aient eu lieu il y a plus de 64 ans, nous sommes révoltées qu’une recherche aussi répréhensible ait pu être menée en invoquant la santé publique, écrivent encore les deux ministres, qui ont lancé une vaste enquête pour déouvrir ce qui s’est passé au Guatemala et examiné les régulations actuelles. Barack Obama a téléphoné à son homologue guatémaltèque et lui transmis ses plus profonds regrets. Le président américain a aussi réaffirmé l’engagement inébranlable des Etats-Unis pour que toutes les études médicales menées sur l’homme aujourd’hui remplissent des critères éthiques et juridiques exigeants. Il n’est pas certain que les victimes guatémaltèques puissent demander des dommages et intérêts.

la guerra contra la conciencia humana

Jim Keith

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Jim Keith (September 21, 1949 – September 7, 1999) was an American author. His best known works are "Black Helicopters Over America" and "The Octopus", co-written with Kenn Thomas, which details conspiracy theories around the death of reporter Danny Casolaro. The book is based on the notes of Danny Casolaro, who reportedly killed himself, although Keith and Thomas examine the case for foul play in their book.
Keith wrote other relatively popular books on conspiracy topics, including Mind Control/World Control, Black Helicopters I and II, OK Bomb, Saucers of the Illuminati, Casebook on Alternative 3, Casebook on the Men In Black and many others. In any case, his views were unapologetically controversial.
One of the underlying themes of Keith's works is the notion that the UFO phenomenon is, in fact, of entirely earthly origin and has its roots within a parallel program of technological development. Keith maintained a steadfast commitment to the earthly-origin theory, and he believed that there was a concerted effort to put forth the extraterrestrial hypothesis into the public consciousness.
Keith began in publishing in the literary magazine scene of science-fiction fandom in the early 1960s. He published and edited many zines over the years, including several semi-professional publications, particularly: Why?, Skyline: Klamath Falls and Dharma Combat: The Magazine of Spirituality, Reality and Other Conspiracies. Keith was also the author of numerous erotic novels, publishing several in the early nineties with Masquerade Books. His nonfiction books have been translated into numerous languages.
Keith helped several of his friends get their start as writers, helping land first book gigs for George Piccard, Len Bracken and Jerry E. Smith. Keith was friends with them, knowing Smith since high school. Together, Keith and Smith also produced the regional newspaper Skyline: Klamath Falls and co-hosted a radio show broadcasting from the campus of the Oregon Institute of Technology.
In 1970, after publishing an article on Dianetics in his sci-fi fanzine Untitled (co-edited with Jerry E. Smith and Larry Neilson) Keith became fascinated with Scientology. He later worked on the staff of local Scientology Missions in Riverside, California and Reno, Nevada. In the early 1990s he left Scientology after being introduced to the Harry Palmer (Avatar) material. He was saving money to take the "Avatar Masters Course" at the time of his death.[citation needed]
Keith fell from a stage and broke his knee at the annual Burning Man arts festival held on the Black Rock Desert in Nevada, about 120 miles north of his hometown of Reno. He went to the Washoe Medical hospital there and died shortly after surgery, in ICU, when a blood clot released and entered his lung, although the coroner's report listed cause of death as "blunt force trauma." Cryptically, Keith stated, prior to his death, "I have this feeling that if they put me under I'm not coming back". He is survived by two daughters.

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DEATH RAYS/RAYOS DE LA MUERTE by Jim Keith (ENGLISH + ESPAÑOL)

RAYOS DE LA MUERTE :MÉTODOS DE CONTROL MENTAL DE MASAS.
Un extracto del libro “Control mental – Control Mundial” por Jim Keith.
Traducido del inglés por Rudy Andria

ORIGINAL TEXT IN ENGLISH HERE http://www.mindcontrolforums.com/pro-freedom.co.uk/death_rays.html
RAYOS DE LA MUERTE
En el siglo veinte ha sido desarrollada una nueva tecnología que es alarmante por su poder e implicaciones. Se enfoca en la difusión electromagnética, una de cuyas aplicaciones es el armamento. Estas armas forman parte del nuevo arsenal “no letal” – un nombre poco apropiado, ya que este armamento podría ser llamado “rayos mortales” – presentado por los militares como un medio humano de hacer la guerra en los años venideros. También puede ser un modo de hacer “la paz” : “la paz” que forma parte de esas mentes controladas en el libro “1984″ y en “Brave New World”.
Seguramente esta posibilidad no se ha pasado por alto, como evidenciado por la cita siguiente de Zbigniew Brzezinski, en su “Entre Dos Eras: el Papel de América en la Era Tecnotrónica: “puede ser posible – y tentador – explotar para objetivos estratégico-políticos los frutos de la investigación sobre el cerebro y sobre el comportamiento humano. Gordon J.F. MacDonald, un geofísico especializado en los asuntos de la guerra, ha escrito que los golpes electrónicos excitados de modo artificial “podrían llevar a un modelo de oscilaciones que producen niveles de potencia relativamente altos sobre ciertas partes de la tierra…De este modo, se podría desarrollar un sistema que perjudicara seriamente el funcionamento cerebral de poblaciones muy grandes en regiones seleccionadas durante un largo período.”
Da igual lo que inquiete el pensar que se utiliza el medio ambiente para manipular el comportamiento para que algunos reciban ventajas nacionales , la tecnología que permite tal uso se desarrollará muy probablemente dentro de las próximas décadas.” Experimentos tempranos de armas electromagnéticas fueron llevados a cabo por los japoneses durante la Segunda Guerra Mundial. La información sobre estos “rayos de la muerte” salió a la luz cuando interrogaron a los científicos japoneses . Según las informacions de los científicos, el rayo de la muerte nunca se usó sobre la gente, pero se probó sobre animales.
En 1960 hubo rumores de una fantástica nueva súper-arma soviética que emplea la tecnología electromagnética de Nikola Tesla. Tras las revelaciones subsecuentes sobre la investigación soviética en estas áreas, resultó que estos rumores eran verdad.
Durante los años 1960 se descubrieron altos niveles de radiación electromagnética en la embajada americana en Moscú. Se notó que la fachada de la embajada estaba siendo barrida sistemáticamente con emisiones electromagnéticas por los Soviéticos. Una conjetura fue que se empleó un rayo microondas para activar el equipo electrónico escondido dentro del edificio; otra conjetura era más macabra: que el rayo se estaba usando para atacar los sistemas nerviosos de los trabajadores americanos de la embajada. Reforzando la última suposición , muchos de los empleados de la embajada enfermaron. El embajador Walter Stoessel sufrió una rara enfermedad de la sangre parecida a la leucemia, y experimentó dolores de cabeza y le sangraron los ojos. Al menos dos empleados padecieron cáncer. Según el investigador Alex Constantine, en vez de informar al personal de embajada de lo que pasaba, la CIA decidió estudiar los efectos de la radiación.
El Doctor Milton Zaret, llamado para investigar lo que fue llamado “la Señal de Moscú,” divulgó que la Agencia Central de Información se preguntó ” si yo creía que la radiación electromagnética emitida al cerebro desde cierta distancia podría afectar a la conducta de una persona”, y “si las microondas se podrían utilizar para facilitar el lavado de cerebro o la ruptura mental de prisioneros”. La conclusión de Zaret sobre la Señal de Moscú era que “independientemente de otros motivos que los Rusos pudieran tener, los Rusos creían que el rayo modificaría el comportamiento del personal.”
El autor Len Bracken, que estaba presente en Moscú entonces, ha declarado al autor en su correspondencia que la radiación de microondas fue emitida de una cabina sobre un edificio enfrente de la embajada. En 1977 la cabina microondas se prendió fuego y se quemó. Bracken dice, ” Era un viernes por la noche y en el Bar de Casa de los Marines estaban tocando ‘ Burn, Baby, Burn” ( Quémata, Niña, quémate/Disco Infierno). Bracken también relata que “en el ’79 instalaron una extraña caja extraña en la pared de mi cuarto (en Moscú), supuestamente relacionada con el sistema de calefacción.”
Se dice que la irradiación de la Embajada Americana incitó una respuesta de los Americanos: el Proyecto PANDORA, de la Agencia de Proyectos de Investigación Avanzada de Defensa, llevada a cabo en el Walter Reed Army Institute of Research desde 1965 hasta 1970. Un aspecto del proyecto implicaba bombardear a chimpancés con radiación de microondas. Citando una declaración del jefe del proyecto, “parece existir el potencial para ejercer un grado de control sobre el comportamiento humano mediante la radiación de microondas de bajo nivel y urge estudiar los efectos de las microondas para posibles usos en armas.”
Tres años después, el doctor Gordon J.F. McDonald, asesor científico del presidente en aquel tiempo, indicó que “La perturbación del medio ambiente puede producir cambios en los patrones de la conducta.” La perturbación a la que se refería McDonald eran las ondas electromagnéticas, y los cambios de la conducta eran patrones de ondas cerebrales alterados.
En 1965 la McFarlane Corporation en América presentó el “cañón nuclear rayo X de electrones modulados”, lo que nos hace pensar en los Buck Rogers: un hito en la tecnología del “rayo de la muerte”. Los informes indican que el dispositivo también se podía usar en comunicaciones, telemetría y sistemas de teledirección por control remoto. Más tarde, McFarlane afirmó que la NASA le robó el sistema, y que los principios del reconocido rayo de la muerte fueron empleados en MIROS, un “sistema de comunicaciones” orbital; al menos así es como lo describió la NASA.
En 1972 el ejército admitió la extensa investigación en los efectos de la irradiación sobre las formas de vida, y la tecnología de armamento electromagnético. Uno de los subproductos de esta investigación condujo a la invención de un poderoso “lanzallamas electrónico”. Éste es posiblemente el arma descrita en un estudio del U.S. Army Mobility Equipment Research and Development Center, “Análisis de las Microondas para la Guerra de Barreras”, que describía el empleo de energía electromagnética para un arma antipersonal y anti-vehículos. El arma de la que se trata en este estudio se afirmaba que era capaz de producir quemaduras de tercer grado en la piel humana.
El doctor Dietrich Beischer, un científico alemán empleado por el gobierno americano, irradió a 7.000 tripulantes navales con niveles potencialmente dañinos de energía de microondas en el “Aerospace Research Laboratory” naval de Pensacola, Florida, y habló de ello en un simposio en 1973. El doctor Beischer desapareció poco después del experimento. Según el alumno de PANDORA Robert O. Becker, él debía pasar algún tiempo con Beischer, pero, “Justo antes de la reunión, me llamó por teléfono. Sin ningún preámbulo ni explicación, exclamó: ‘Estoy en una cabina telefónica. No puedo hablar mucho tiempo. Me están vigilando. No puedo acudir a la reunión y ni siquiera comunicarme contigo otra vez. Lo siento. Has sido un buen amigo. Adiós.’ Enseguida llamé a su oficina de Pensacola y me dijeron ‘disculpe, aquí no hay nadie con ese nombre’, exactamente como en las películas. Un tipo que había hecho investigación importante allí durante décadas pura y simplemente desapareció.”
Según Eldon Byrd, del Naval Surface Weapons Center de Silver Springs, Maryland, “Entre 1981 y septiembre de 1982, la Marina me comisionó para que investigara el potencial de desarrollar dispositivos electromagnéticos que la Infantería de Marina pudiera usar como armas no letales con los objetivos de ‘control de disturbios’, retirada de rehenes, seguridad de embajadas y navíos, operaciones clandestinas, etcétera. ” Byrd escribió sobre experimentos de irradiación de animales con campos electromagnéticos de bajo nivel, mencionando cambios en las funciones cerebrales, y afirmando que los animales “mostraron una drástica degradación de inteligencia más tarde… no podían aprender tareas fáciles … indicando un daño muy definido e irreversible al sistema nervioso central del feto.”Los experimentos progresarón. Byrd escribió que “A cierta frecuencia y cierta intensidad de potencia, podrían hacer ronronear al animal, que se tumbara y que diera vueltas.”
A principios de los años 70, según Robert C. Beck, “una reunión de múltiples datos anecdóticos indicaba que un transmisor de bolsillo con niveles por debajo de 100 miliwatios podía cambiar drásticamente la disposición de ánimo de personas que no estaban al tanto de los ataques, y que se podía manipular ocultamente la disposición de ánimo en enormes zonas geográficas mediante transmisiones invisibles y remotas de energía electromagnética.”
A finales de los años 70, los negociadores rusos en las conversaciones de Limitación de Armas Estratégicas (SALT II), propusieron la prohibición de “una nueva generación de armas de destrucción masivas” que emplean pulsos electromagnéticos. Se ha sugerido que los Rusos, al plantear la prohibición, intentaban sondear a los Americanos en cuanto al estado de entonces de su investigación con armas electromagnéticas. Los Americanos no parecieron tener idea de sobre qué hablaban los Rusos, y la oferta se aplazó.
Lo cierto es que algunos Americanos sabían exactamente de qué hablaban los Rusos, aunque los comunistas les llevaran una ventaja significativa en varios frentes. En 1959 los científicos rusos Gaponov, Schneider y Pantell habían concebido lo que llamaron un maser de resonancia de ciclotrón, que esencialmente es un cañón de rayos industrial de potencia ajustable. Comenzando alrededor de 1966, los Rusos se lanzaron a un proyecto de choque altamente financiado para desarrollar el girotrón, otra forma de “cañón” electromagnético, y en 1971 estaban metidos en sus primeras pruebas de campaña con el girotrón.
En 1975, los físicos M.S. Rabinovich, A.A. Rukhadze y otros activos en defensa estratégica rusa en el Instituto de Física Lebedev de Moscú anunciaron que, usando un maser de resonancia de ciclotrón, habían producido explosiones con microondas que sobrepasaban de lejos lo que los Americanos estaban proponiendo aún teóricamente y que, según el análisis de los militares americanos, era bastante poderoso como para usarlo como armas.
Un informe de American Rand Corporation concluyó en aquel tiempo que los experimentos rusos formaban parte de un programa ruso mayor, diseñado para la producción de armamento electromagnético, centrado en el Instituto de Física Aplicada de Gor’kiy, el Instituto de Física Lebedev de Moscú, y otro grupo de institutos de investigación en Tomsk. En los años 1980, se informó, las armas girotrón rusas se habían reducido de tamaño de manera que cupieran en un camión militar normal, y fueran capaces de aniquilar grandes emplazamientos militares o, en frecuencias inferiores, irradiar ciudades enteras.
En 1982 las Fuerzas Aéreas publicaron una revisión del empleo del electromagnetismo sobre las formas de vida, que decía: “los datos actualmente disponibles permiten la proyección de que los campos de radiación de radiofrecuencia (RFR) especialmente generados pueden plantear muy fuertes y revolucionarias amenazas militares en lo antipersonal. La terapia de electrochoque indica que la corriente eléctrica inducida es capaz de interrumpir completamente el funcionamiento mental durante cortos períodos de tiempo, capaz de obtener “cognición” durante períodos más largos y capaz de reestructurar la respuesta emocional en intervalos prolongados..”…los campos electromagnéticos impresos pueden demoler la conducta intencional y ser capaces también de dirigirla. Es más, el paso de aproximadamente 100 miliamperios por el miocardio puede conducir a la parada cardíaca y a la muerte, de nuevo indicando un efecto del arma casi tan rápido como la velocidad de la luz. Un sistema de escáner rápido de RFR podría producir un atontamiento eficaz o aniquilar las capacidades en una zona amplia.”
En 1984 el programa de investigación de la creación de microondas pulsadas se aumentó en los Lawrence Livermore National Laboratories.
Según el Oregon Journal, en marzo de 1978, en un reportaje titulado “Señales de Radio Misteriosas Causan Preocupación”, la ciudad de Eugene fue irradiada por microondas probablemente emitidas desde un transmisor de la Marina, localizado a varios cientos de millas de distancia en California. Según un informe de FCC, “las microondas fueron la causa probable de varias enfermedades repentinas entre investigadores de las facultades en la Universidad de Estado de Oregon”. Numerosos residentes también se quejaron de dolores de cabeza, insomnio, fatiga, enrojecimiento de la piel, y de oír chasquidos y zumbidos en la cabeza.
Un estudio dirigido por el Pacific Northwest Center for Non-Ionizing Radiation atribuyó la radiación, en cambio, a los Soviéticos, afirmando que era “psicoactivo” y que “sugería muy fuertemente el objetivo del control cerebral.”
En septiembre de 1985, miembros del Greenham Commons Women’s Peace Camp de Gran Bretaña, un campo de protesta contra la militarización global localizado al lado de la Base de las Fuerzas Aéreas de EE UU en Greenham Commons, comenzaron a experimentar una amplia gama de síntomas físicos desagradables que abarcaban dolor de cabeza, depresión, desorientación, pérdida de memoria, vértigo y cambios de los ciclos menstruales. Según la doctora Rosalie Bertell y otros que investigaron lo que estaba ocurriendo, los síntomas eran del tipo asociado con la exposición a la radiación, y comenzaron un poco después de que la seguridad de la base se cambió de guardias humanas a la vigilancia principalmente electrónica. Esto habría sido una oportunidad perfecta para instalar unidades de difusión electromagnética disfrazadas como equipo de vigilancia.
La doctora Rosalie Bertell, el antiguo ingeniero de radar Kim Besly y otros tomaron lecturas de los niveles electromagnéticos en la zona, y encontraron que eran 100 veces más fuertes que en otras zonas cercanas.
Que el arsenal electromagnético se está usando contra la ciudadanía en la nueva Rusia es evidente en una declaración publicada al final de 1991 por SovData DiaLine:
“La guerra psicológica todavía es usada por agentes de seguridad estatales contra las personas en Rusia, aún después del abortivo golpe de agosto”, dijo Emilia Chirkova, Diputada del Soviet de Zelenograd y miembro de la Comisión de Derechos Humanos. Ella rememora el escándalo que rodea a la implantación de presuntos micrófonos ocultos instalados cerca de la oficina de Boris Yeltsin.
Los agentes de la KGB admitieron entonces que la antena direccional del equipamiento fue diseñada para la transmisión, no para la recepción.
La Diputada Chirkova cree que era parte de un intento de afectar a la salud del presidente ruso usando la radiación electromagnética de alta frecuencia. “El Comité de Derechos humanos”, dijo Chirkova, “había advertido a Yeltsin sobre tal posibilidad.”
Bases para las alegaciones de Chirkova fueron proporcionadas por Victor Sedleckij, el ingeniero-en-jefe de diseño para el centro Forma y vicepresidente de la Liga de Científicos Independientes Soviéticos .Sedleckij indicó: “Como experto… afirmo, en Kiev se lanzó una fabricación en serie de biogeneradores psicotrónicos y sus testeos. No puedo afirmar que durante el golpe de estado (de Moscú) los que se usaron eran los generadores de Kiev… En todo caso, que los generadores psicotrónicos fueron usados es evidente para mí. ¿Qué son los generadores psicotrónicos? Son equipamiento electrónico que produce el efecto de control dirigido en organismos humanos. Afectan especialmente a los hemisferios izquierdo y derecho del córtex. Ésta es también la tecnología del Proyecto estadounidense Zombie 5 … Utilizo mi experiencia personal, ya que yo mismo soy el diseñador de ese generador.”
Emilia Chirkova citó varios casos del empleo de dispositivos similares. El equipo microondas había sido usado en 1989 y 1990 en Vladivostok y en prisiones de Moscú, en un hospital psiquiátrico en Oryol, y en el Instituto Serbsky en Moscú [también un hospital psiquiátrico], dijo Chirkova. Durante su exilio en Gorki, Andrei Sakharov notó la presencia de un campo electromagnético de alta tensión en su apartamento. En 1998 apareció en la prensa que Ruslan Khasbulatov, Portavoz del Parlamento ruso, tuvo que mudarse de su apartamento a otro distrito de Moscú. La radiación electromagnética de alto nivel ha sido incluida entre las causas posibles del malestar que él sintió en su apartamento.
Pretendidas víctimas de la guerra psicológica han escrito al periódico ruso. De Voronezh: “Controlaban mi risa, mis pensamientos, y causaban dolor en varias partes de mi cuerpo… Todo esto comenzó en octubre de 1985, después de que critiqué abiertamente al primer secretario del Comité Ciudadano del Partido Comunista.”
“A veces se puede oír en la cabeza voces por el efecto de la radiación de pulso de microondas que causa oscilaciones acústicas en el cerebro”, explicaba Gennady Shchelkunov, un investigador de electrónica de radio de la Istok Association. En junio de 1991, un grupo de autoridades de Zelenograd envió una petición firmada por 150 personas al Presidente Yeltsin, exigiendo una investigación en el empleo de armas bio-electrónicas.
Un experimento realizado en Cable News Network a mediados de los años 1980 demostró la realidad de los dispositivos electrónicos que pueden proyectar imágenes en la mente a distancia. La doctora en Física Elizabeth Rausher y el ingeniero eléctrico Bill VanBise construyeron una “máquina de interferencia mental” por radiofrecuencia utilizando información obtenida en la literatura científica soviética accesible al público. Según la CNN, “la máquina era barata y fácil de construir usando piezas obtenidas en una tienda de electrónica de uso doméstico. Emite un campo magnético débil pulsado a una frecuencia sumamente baja.”
El comentarista de la cadena, el señor DeCaro, dijo: “Como sujeto de la prueba, me vendaron los ojos y me bloquearon los oídos para impedir pistas inadvertidas en cuanto a lo que pasaba. Una sonda magnética fue colocada aproximadamente a 18 pulgadas (o unos 45 cm.) de mi cabeza .Cuando comenzó el experimento, dos generadores de señal producían patrones de formas de ondas que se transmitían por la sonda magnética a aproximadamente una milésima parte del campo magnético de la tierra.”
A continuación, una transcripción parcial de la conversación entre VanBise, Rausher y DeCaro durante el experimento:
VanBise: Describa cualquier cosa que vea.
DeCaro: Yo podría ver ondas cambiando de forma en mi mente… Una parábola acaba de pasar…
VanBise: Ah, sí, yo la hice. Solamente tiré del interruptor. ¿Parábola?
Rausher: Uh-huh.
VanBise: Bien, vamos a ver. Compruebe esto. Esto es lo que ocurrió, tiré del interruptor. Rausher: ¡Sí!
DeCaro: ¡De acuerdo!, ¡un punto ahí mismo!
Rausher: Un punto ahí.
DeCaro: Un punto pequeño.
VanBise: Cambié el generador radicalmente. Lo pasé a diez directamente aquí, y la mezcla de los dos generadores estaba ahí donde usted dijo que vio un punto.
Después del experimento, DeCaro entrevistó a VanBise, quien dijo que la tecnología podía “inducir básicamente lo que se considerarían alucinaciones en las personas; dirigirlos para hacer cosas que vayan contra su presunto mejor razonamiento.”
DeCaro preguntó, “¿Cómo de fácil sería montar un arma con piezas que haya en las tiendas corrientes?”
“En tres semanas”, respondió VanBise, “yo podría montar un arma que se ocupara de una ciudad entera.”
Armas de control mental electrónicas portátiles, lo bastante pequeñas para ser transportadas en un camión, ya se informa de que las usan rutinariamente en acciones ofensivas los militares americanos, y se emplearon en Grenada, Panamá y en la guerra del Golfo. Aunque oficialmente se niega, se ha informado de que se usaron armas de control mental electromagnético en Waco, Texas, en 1993, durante el asedio de 51 días sobre David Koresh y sus seguidores. El metraje de vídeo tomado durante el asedio por la B.B.C. muestra el despliegue de varios sistemas de armas avanzados, incluyendo un arma soviética psicotrónica diseñada por el doctor Igor Smirnov de la Academia Médica de Moscú.
Aunque se niega que tales armas fueran usadas en la matanza de Waco, el gobierno sí que admite que los agentes federales “consideraron la eventualidad” de usar el proyector de psico-corrección acústico de Smirnov sobre la secta de los Davidianos. También se admite que hubo una serie de reuniones a puerta cerrada sobre el asunto de la secta Davidiana, reuniones que comenzaron el 17 de marzo, en Virginia del Norte, entre Smirnov y agentes del FBI, la CIA, la DIA, y DARPA.
Según un participante en las conversaciones, “había un fuerte interés entre las agencias de inteligencia porque habían estado rastreando a Smirnov durante años, y porque sabemos que hay pruebas de que las Fuerzas Especiales del Ejército soviético usaron esta tecnología durante el conflicto en Afganistán.”
Un informe de las reuniones fue publicado en un memorándum de “Psychotechnologies Corp” de Richmond, Virginia. En el memorándum se anotó que asistentes no especificados de la reunión preguntaron si “EE UU tendría que emprender la detección de psico-corrección, el descifrado y los programas de contramedidas.”
Un lanzamiento de noticias proporciona en 1998 información sobre un nuevo programa del National Institute of Justice, para desarrollar armas electromagnéticas de “fuerza amistosa” para su empleo en EE UU. Según Microwave News, el Oak Ridge National Laboratory examina la posibilidad de “armas térmicas” que incapacitarían a un individuo al hacer sobrecalentarse su cuerpo , “pistolas de convulsiones” que inducirían ataques epilépticos, y “armas de magnetosfera” que harían que una persona “viera las estrellas.”
En 1998, el gran coste de la investigación sobre el armamento electrónico ha sido subsumido en la Strategic Defense Initiative, también conocida ( para disgusto de George Lucas ) como el programa de la Star Wars Program o “Guerra de las Galaxias”. En 1993, Aldric Saucier, un científico del programa del Ejército de defensa balística, habló ante el Comité de Operaciones del Gobierno del Congreso de los fondos de la Guerra de las Galaxias que se están canalizando a operaciones negras indocumentadas. Saucier dijo que la mitad del presupuesto destinado para la investigación de la SDI, literalmente cientos de millones de dólares, faltaron.
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Blade Runner es uno de los films más emblemáticos de los años ochenta y ha llegado a convertirse en un verdadero clásico dentro del género de ciencia-ficción. La historia transcurre en una fecha y un lugar concretos, “Los Angeles, noviembre 2019”. A través de esta ubicación espacio-tremporal RIDLEY SCOTT plantea cuestiones como lo real y lo aparente, la sustitución de lo natural por lo artificial, la deshumanización de las ciudades, el desequilibrio ecológico, etc. Pero lo que da a la película calado filosófico es la pregunta por el hombre y su tiempo, quebrado por la muerte.

BLADE RUNNER
RIDLEY SCOTT. USA, 1982. 114 min.
SINOPSIS:
Seis replicantes modelo Nexus 6 llegan a la tierra huidos de una colonia espacial. Los replicantes son androides de aspecto idéntico a los humanos, creados por los hombres para realizar trabajos más duros y peligrosos. En un acto de rebeldía han escapado de las colonias en las que han matado a más de veinte personas, con el fin de encontrar a su creador y lograr de éste una prolongación de su existencia programada para cuatro años. En la tierra los replicantes son ilegales y son perseguidos por un cuerpo de policía llamado los blade runner. Deckard (Harrison Ford) es uno de ellos y a él se le asignará esta misión.

Ante todo, Blade Runner es una película que nos habla sobre la naturaleza del hombre, para ello juega con la constante comparación entre los humanos y los replicantes. Muchas veces nos queda la duda acerca de las fronteras de lo humano o incluso la convicción de que los replicantes se muestran realmente “más humanos que los humanos”, tal como proclama el lema de la Factoría Tyrrell, donde se fabrican los replicantes. Late en el fondo de la película en todo momento la cuestión sobre la esencia del hombre. Hay que advertir que se han comercializado dos versiones de este film, diferenciadas fundamentalmente por el desenlace final. La versión del productor es la que primero se comercializó y en ella parece que el protagonista Deckard es un humano; en la versión del director Deckard es un personaje más despiadado y duro parece más bien que su naturaleza es la de un replicante.

A partir de ahí las preguntas de carácter filosófico surgen en la mente del espectador de modo espontáneo: ¿Qué diferencia a los replicantes de los humanos? ¿Qué características nos hacen pensar en que una vida es humana?

¿Qué nos hace humanos?

Variadas respuestas se ofrecen a estas cuestiones. La primera es la referencia al origen. La referencia al creador está en el núcleo de la criatura misma, allí donde todo lo demás se apoya y de lo que todo lo demás depende. Los replicantes parecen ser conscientes de esto, no en vano tienen muy claro su objetivo: buscar a su creador. La primera característica de lo humano sería tener su origen en un padre.

Se nos plantea aquí una posible lectura mítico-religiosa de esta historia. Como es sabido, los mitos no son razonamientos, no encadenan ideas, sino imágenes, no explican sino que materializan, simbolizan, algunas enseñanzas a cerca de lo que somos, nos hablan verdaderamente sobre lo que somos, ayudándonos a conocernos en aspectos delicados, aunque sea de un modo imperfecto. El mito era una forma de conocimiento sapiencial muy valorado en la antigüedad. ARISTÓTELES –por ejemplo–solía afirmar: cuanto más viejo me hago, más amante de los mitos me vuelvo. La nuestra es una cultura eminentemente técnica en la que muchas veces se echa en falta, precisamente esa sabiduría consistente en el conocimiento que nos habla de los temas centrales de la vida humana y las averiguaciones acerca de los dos temas centrales que afectan al hombre: el origen y el destino. La sabiduría nos dice de dónde venimos y adonde vamos.

El mito sobre el origen

Lo que Blade Runner propone no es tanto una explicación cuanto una puesta en imágenes de algo que constituye una parte delicada de nosotros mismos. En el fondo es una re-proposición en clave años 80 de antiguos mitos ampliamente desarrollados en la literatura y el arte de todas las épocas: El mito sobre el origen. La relación entre la criatura y el creador forma parte de muchas cosmogonías, y se aplica al hombre en su doble vertiente de criatura y creador. Es la búsqueda de una respuesta ante la pregunta sobre nuestro origen. En este sentido Tyrrell es un moderno Dr. Frankestein o Gepetto (Pinocho). Criatura y creador mantienen una relación misteriosa y ambivalente. El ser humano (persona) exige que las relaciones sean amorosas: sólo el amor es una relación adecuada para la persona; por eso la persona reclama un padre.

Blade Runner nos plantea a la vez el problema de la rebelión de la criatura frente a su creador, tema bien conocido por la filosofía moderna. Lo que trae a la tierra a los replicantes es una queja: han sido creados con poco tiempo de vida, les mueve el miedo a morir. Ante la negativa de Tyrrell a complacerles, Roy, el jefe de los replicantes le aplastará el cráneo, ese cráneo que contiene al cerebro que le creó. Una escena escalofriante: la criatura aniquila a su creador; algo que ni siquiera Frankenstein se atrevió a hacer. Es el mito de Prometeo. Deckard viene a ser el “brazo armado” que defiende al creador ante la amenaza de los replicantes, pero curiosamente el amor hacia una replicante genera en él una convulsión tal que termina poniéndose de parte de ellos. ¿Hace bien o mal actuando así?

También es interesante la figura de Roy, (iconográficamente presentado como una especie de Zeus) con su “deicidio”. Al asesinar a Tyrrell, su creador, parece que se humaniza, asumiendo libremente su trágico destino. Evidentemente se trataba de un falso dios, pues sólo un falso dios puede morir. La angustia de Roy ante la muerte le hará tremendamente humano y próximo a nosotros que, en el fondo no podemos olvidar que también tenemos “fecha de caducidad”.

La naturaleza humana

Estrictamente hablando la pregunta ¿qué nos hace hombres? Tiene una respuesta: la naturaleza humana, un modo de ser al que corresponde un determinado dinamismo en el obrar. La película en este sentido da una especial importancia a los sentimientos. Se nos advierte que los replicantes “fueron diseñados como copias de seres humanos en todos los sentidos, excepto en sus emociones. Pero los diseñadores creen que, al cabo de unos años, pueden desarrollar sus propias respuestas emocionales: odio, amor, miedo, cólera, envidia...”. Esto hace que su comportamiento sea especialmente inquietante y nos obliga, en nuestra búsqueda filosófica, a preguntarnos qué hace realmente humanos a los sentimientos del hombre (al fin y al cabo también los animales parecen tener ciertos sentimientos).

El hombre añade a sus tendencias inferiores finalidades más altas. El hombre se plantea fines nuevos (trascendentes) mucho más allá de las necesidades orgánicas: arte, cultura, religión, etc. Es precisamente esa trascendencia lo que nos impresiona en Roy, el último de los replicantes. En su pelea a muerte con Deckard no es el instinto de supervivencia lo que marca su comportamiento, sino, sorprendentemente el amor a la vida: no solo su vida; la vida de todos, mi vida (afirma Deckard).

Como vemos, en algunos momentos son los replicantes quienes nos muestran con más lucidez las más profundas inquietudes del hombre. Quizá una de las cuestiones que más “humanizan” la vida de estos replicantes es la pregunta por el fin. La pregunta ¿qué es el hombre? se transforma en una pregunta sobre el fin ¿hasta dónde soy capaz de llegar? ¿cómo vivir para que mi existencia tenga sentido? La pregunta por el fin nos sitúa ya en el plano moral. Podemos ver que los replicantes tienen planteamientos morales, les preocupa lo que está bien y lo que está mal, no sólo en el momento de la muerte violenta de cada uno de ellos (manifiestan profundos sentimientos de compasión y solidaridad), sino también a la hora de enfrentarse a la propia muerte, especialmente en el caso de Roy, que en alguna ocasión trata de hacer un balance moral de su vida. Veamos el siguiente diálogo que tiene lugar cuando por fin Roy se encuentra con su “creador”:

Roy: No es cosa fácil conocer a tu creador.
Tyrell: ¿Y qué puedo hacer yo por ti?
Roy: ¿Puede el creador reparar lo que ha hecho?
Tyrell: ¿Te gustaría ser modificado?
Roy: ¿Y quedarme aquí? [ pausa ] Pensaba en algo más radical.
Tyrell: ¿Qué? .... ¿Qué es lo que te preocupa?
Roy: La muerte.
Tyrell: ¿La muerte? Me temo que eso está fuera de mi jurisdicción, tú ....
Roy: Yo quiero vivir más.
Tyrell: La vida es así. Hacer una alteración en el desarrollo de un sistema orgánico de vida es fatal. Un programa codificado no puede ser revisado una vez establecido (...) Tú fuiste formado lo más perfectamente posible.
Roy: Pero no para durar.
Tyrell: La luz que brilla con el doble de intensidad dura la mitad de tiempo. Y tú has brillado con muchísima intensidad, Roy. Mírate, eres el hijo pródigo. Eres todo un premio.
Roy: He hecho cosas malas...
Tyrell: Y también cosas extraordinarias. Goza de tu tiempo.

Vemos aquí la ambivalente relación entre criatura y creador. Realmente no se puede decir que sea una relación padre-hijo. Tyrrell no parece conmoverse mucho ante la suerte del desesperado Roy, más bien le anima a tomar las cosas con resignación. Una vez más nos identificamos con el replicante y su angustia ante una muerte prematura, porque, en realidad, intuimos que toda muerte es prematura, que esa perfección a la que tiende la naturaleza humana se presenta como casi inalcanzable, por eso queremos vivir. Esa angustia manifiesta, en el fondo, el carácter abierto e inacabado del hombre.

Pero es en la secuencia final del duelo entre Roy y Deckard donde se manifieste de un modo más claro, con poéticas palabras de Roy, la verdadera humanidad de los replicantes. Bajo la apariencia de brutalidad se esconde en los replicantes una especie de supra-humanidad que se manifiesta en su falta de resignación a ser máquinas programadas, su deseo de vivir, su pregunta por el sentido de la vida, su amor a la libertad (se niegan a ser esclavos). Las grandes preguntas existenciales se las plantean ellos: ¿quiénes somos? ¿de dónde venimos? ¿qué será de mí? ¿a dónde vamos? ¿por qué no podemos vivir más? Deckard está ahí para atestiguarlo:

Roy: Yo he visto cosas que vosotros no creeríais. Atacar naves en llamas más allá de Orión. He visto Rayos-C brillar en la oscuridad cerca de la Puerta de Tannhäuser. Todos esos momentos se perderán en el tiempo como lágrimas en la lluvia. Es hora de morir.
[ Roy muere. La paloma sale volando hacia el cielo ]

Deckard (voz en off): "No sé por qué me salvó la vida. Quizás, en esos últimos momentos, amaba la vida más de lo que la había amado nunca. No solo su vida; la vida de todos, mi vida. Todo lo que él quería eran las mismas respuestas que todos buscamos: de dónde vengo, adónde voy, cuánto tiempo me queda. Todo lo que yo podía hacer era sentarme allí y verle morir".

El tiempo, el amor y la muerte

Vemos al fin unos seres que sienten la vida como ningún humano y temen la muerte, desean vivamente tanto tener un pasado (historia) como unas expectativas de futuro. El paso del tiempo tiene una especial importancia en la película contribuyendo al creciente dramatismo de la historia. Los replicantes quieren más tiempo, quieren que el tiempo no pase por ellos. También esto los hace más humanos. A Roy se le va acabando el plazo de tiempo concedido antes de concluir la misión que él mismo se ha encomendado (rescatarse del tiempo).

Pero sobre todo, lo que más les humaniza es que son capaces de amar. La muerte de Pris hace que Roy manifieste hacia ella un amor apasionado. Después, en el duelo final entre Roy y Deckard el primero salva la vida al segundo mostrando así que el amor a la vida está por encima de las demás cosas (odio, deseo de venganza, etc.). Es capaz incluso de amar desinteresadamente.

La película plantea uno de los grandes temas: la redención por el amor. Sólo el amor hace posible escapar de la esclavitud del tiempo. Sólo el amor nos hace mejores y da sentido a nuestra existencia. Es importante en este aspecto no olvidar el amor entre Rachael y Deckard, central en el desarrollo de la historia. En la secuencia (de amor) del piano entre Deckard y Rachael, cuando ella expresa sus dudas acerca de la autenticidad de sus recuerdos Deckard dice “tocas muy bien”, en una exaltación del presente amoroso, como diciendo que el amor prescinde del pasado y del futuro. En realidad no tiene mucho mérito que toque bien el piano, pues si lo hace es porque ha sido “programada” para ello, y Deckard lo sabe, pero no le importa, le gusta oírle tocar el piano porque la ama, y ese amor le llevará a tratar de salvarla. Pero será Roy quien asuma de un modo más claro el papel de redentor salvando a Deckard. No sólo amaba a alguien, sino a todos. No solo su vida; la vida de todos. Deckard se enfrentaba a una muerte segura y, cuando estaba todo perdido, aparece una mano salvadora, curiosamente, una mano traspasada por un clavo
 

El Futuro de la Humanidad - Parte 1 de 7

la lucha por la libertad y el sistema enemigo del hombre



El control de la población mundial

El plan que ya se está ejecutando en Argentina


INTRODUCCIÓN

Queridos amigos, si pudiéramos sintetizar en una frase la realidad de nuestro mundo, podríamos decir que la humanidad vive en la actualidad una lucha entre los fuertes y los débiles, cuyo ámbito de acción es universal. Enfrentándose un conjunto de países y sociedades enriquecidas como son Europa, EE.UU. y Japón, que apenas constituyen un 15% de la población mundial, con una inmensa mayoría de población empobrecida, que padece una continua situación de injusticia, de robo y de violencia.
Existe por lo tanto una realidad de dominación de los fuertes, de ámbito planetario cuyas fuerzas motrices son el lucro y el poder. Estos planes se disfrazan como "salud reproductiva", "paternidad responsable", "planificación familiar", "educación sexual", "lucha contra el SIDA", "salud sexual", "acciones de género", "feminismo" o "desarrollo sustentable".
Esta división del género humano entre fuertes y débiles genera sobre los países empobrecidos una realidad de injusticia, violencia y muerte.
- El 82% de la humanidad está condenada al hambre.
- 1500 millones de personas sufren en sus diferentes formas el paro.
- 400 millones de niños viven en situación de esclavitud
- 50 millones de muertos es el balance anual de los más de 40 conflictos bélicos abiertos en la actualidad, la mayoría mujeres y niños.
- 50 millones de niños son abortados al año.
- 80 países tienen en vigor la pena de muerte
- El terrorismo, la eutanasia no cesan de arrojar victimas y destrozar familias.
Podemos afirmar por lo tanto que vivimos en una auténtica guerra planificada contra la vida, contra los débiles, los empobrecidos,... en la que no se puede ser espectador. Se es víctima o verdugo. Se está con los fuertes o con los débiles.
Ahondaremos en la charla de hoy uno de los pilares de ésta situación de dominación como es el control de la población y los diferentes mecanismos que facilitan dicho control (aborto, eutanasia, clonación, la esterilización) para después denunciar las causas y fines que hay detrás de tanta muerte.
En un primer momento me centraré en los caras que tiene en nuestra sociedad este control de la población, como son las políticas proabortivas, la aceptación de manera paulatina de la eutanasia, y de la clonación.

1.- ABORTO

Se estima que en el mundo se producen 53 millones de abortos al año.
En la actualidad está permitido el aborto en 54 países, lo que supone el 61% de la población mundial, sin contar los abortos ilegales que se producen, los cuales se dan tanto en los países en que está legalizado como en los que no.
Una cifra: en España se produjeron 60.000 abortos en el año 2000, que se pueden considerar libres, de hecho y que con las últimas reformas del gobierno popular ha aumentado un 29%.
En el mundo científico se considera ser vivo a cualquier tipo de célula que existe en la naturaleza. Se busca vida en Marte buscando moléculas de agua, pero esto no ocurre con los seres humanos. No se considera una persona, una vida a un feto dentro del vientre materno, sobre todo si es en las primeras semanas de gestación, a pesar de que incluso antes de las 4 primeras semanas ya existe latido.
Para justificar el aborto terapéutico se habla de un peligro para la salud de la madre, o de grandes malformaciones en el feto. La mayor tasa de abortos, el 97%, se produce en mujeres entre 20 y 29 años, que está descrita como la edad de menor riesgo de alteraciones psicológicas.
La paternidad responsable no está fomentada debidamente, de modo que esta debilidad de la familia es asumida por el Estado, o más bien, los padres delegamos en el Estado, la responsabilidad de la educación de los hijos. Este es el caso más llamativo de los jóvenes. En vez de formación en valores y respeto a la dignidad de la persona, a nuestros jóvenes, es más fácil darles condones, que ni siquiera saben usar.
Está visto que este es un punto clave de ataque a la familia, célula base de la sociedad. El ataque sistemático a la familia, ha llevado a ésta a la pérdida de la transmisión de valores como la gratuidad, el sacrificio, la solidaridad, el amor, la protección del débil, dejándolo en manos del Estado donde prima el individuo sin responsabilidad, que consume, que vive al día, que busca el bienestar y la comodidad por encima de todo, que no lucha por los más débiles o contra las injusticias.

2.- EUTANASIA.

Conocemos como eutanasia al proceso de muerte inducido premeditadamente de un hombre hacia otro hombre, en otras palabras, matar a otro hombre con el pretexto de ahorrarle sufrimiento. Es diferente al derecho a morir dignamente.
Más técnicamente lo definen como la muerte fácil e indolora, o una muerte "piadosa" provocada en una persona que sufre una enfermedad incurable y dolorosa.
Nos encontramos en una sociedad que quiere alargar la vida media del hombre. Según el último informe de la Comunidad de Madrid, la vida media de las madrileñas ronda los 83 años de edad y la de los madrileños, los 78, con lo cual vemos claramente que se está consiguiendo. Nos bombardean con los hábitos de vida saludable, con la calidad de vida, pero, sin embargo, no quiere a los longevos, y legaliza medidas para eliminarlos. Como consecuencia directa del alargamiento de la vida, están las enfermedades propias de la ancianidad.
Según las más recientes estimaciones, tendemos a vivir en una sociedad cada vez más envejecida. Algunos datos: En 1900 Europa tenía el 25% de la población mundial, en 2050, será el 7%.
Más concretamente en España. Hoy España tiene 39.4 millones de habitantes, cifra que va en disminución a partir de las próximas décadas. Se calcula que en 2020 habrá 14 millones de españoles con más de 65 años, lo que representa un 17% de la población. En Europa un 15%.
¿Qué pasa?. Que con la disminución de hijos por mujer, que está en España en 1.07, la atención familiar a esos ancianos será escasa, puesto que corresponderá en su mayoría a las familias de un solo hijo resultantes de 20 años de anticoncepción.
Pero centrándonos exclusivamente en la dignidad de la persona, del ser humano. ¿Por qué queremos "matar" a los que no están bien?.
Queremos vivir más, pero no asumir las consecuencias de ello. Para eso ya hemos inventado lugares donde encerrar a nuestros ancianos que ya no pueden hacer otra cosa más que estar sentados en su silla de ruedas al sol, ya no nos sirven como referente, su vida y su experiencia. Han perdido el valor en una sociedad que vive de lo que el presente dictamina. Bueno, miento un poco. Los ancianos si que interesan, son un negocio redondo.
Pero esto ocurre aquí, donde la eutanasia aún no está legalizada, aunque se estén dando pasos para ello, en mi opinión, como es el testamento vital, aprobado ya primero en Cataluña a través de la Ley 21/2000, el 29 de diciembre del año 2000, y en el resto de España, por unanimidad en el Congreso de los Diputados el 20 de junio de 2002.
Por ejemplo, en Holanda, según el Informe Remnlik, de 1991, en 1990 hubo más de 12000 casos de eutanasia en los cuales los médicos tomaron decisiones sobre las vidas de sus pacientes en más de la mitad de los casos sin el consentimiento de éstos. Estas medidas tienen unas consecuencias directas, de las cuales, la más significativa es que Holanda es el país europeo más atrasado en cuanto a la medicina paliativa de Europa.
En general, la aceptación de la eutanasia, lleva consigo una serie de consecuencias como:
- la utilización de la eutanasia, como ya hemos dicho, frena la investigación y el avance de la medicina. Sabemos que lo que impulsa a la investigación son los procesos, para desarrollar nuevas terapias tanto curativas como paliativas.
- tanto la eutanasia, como el aborto, como la clonación, generan y fomentan una mentalidad eugenésica, negándonos nuestra dignidad como personas y nuestros derechos, sobre todo, el derecho a la vida.
- la generalización de la eutanasia fomenta la mentalidad de que una vida con limitaciones no merece la pena ser vivida (que se lo pregunten a Stephen Hawkins).
- la presión social puede llegar a generar un sentimiento de culpa sobre la persona enferma, de tal modo que piense que es una carga para su familia y para la sociedad. Esto incrementa la eutanasia involuntaria, al igual que en el caso del paciente que no se encuentra en condiciones de expresar su voluntad. En este caso es el médico y la familia, los que dan con la conclusión de cuál sería la voluntad del paciente si pudiera expresarse. Se llega a la conclusión de que esa vida no tiene valor.

3.- LA CLONACIÓN.

Hablamos de clonación cuando nos referimos a la producción de muchas copias idénticas a un fragmento concreto del DNA.
Los expertos nos hablan de 2 tipos de clonación:
- Clonación reproductiva: que es la que se utiliza para obtener individuos clónicos entre sí o entre sus progenitores. (esta es la propaganda que la secta de los raelianos ha puesto de moda)
- Clonación no reproductiva: que es la aplicación de técnicas de clonación en cultivos celulares o en embriones sin intención de producir un individuo vivo, sino con objeto de establecer cultivos de tejidos, y si fuera posible de órganos, a partir de células, que son células inmaduras con capacidad de regeneración y de diferenciación. Estos últimos pueden ser establecidos con fines de investigación básica o clínica en la reparación de órganos o tejidos dañados, en cuyo caso hablamos de clonación terapéutica.
Ambos tipos de clonación tienen una serie de aspectos éticos y morales importantes de reseñar.
Sobre la clonación reproductiva diremos:
- El hombre es un fin en sí mismo, no un medio.
- El hombre tiene derecho a no ser programado genéticamente.
- El hombre tiene derecho a ser genéticamente único e irrepetible (propiedad de unicidad)
- La clonación humana responde a una trayectoria eugenésica, que quiere clonar a los fuertes.
Según Hans Jonas es "en el método la forma más despótica y, a la vez, más esclavizante de manipulación genética; su objetivo no es la modificación arbitraria de una sustancia, sino precisamente, su arbitraria fijación en oposición a la estrategia dominante en la naturaleza".
- La clonación humana produce una instrumentalización de la mujer, reducida a mera portadora de óvulos y de útero, pasando posteriormente a la creación de úteros artificiales.
- Se desvirtúan las relaciones más propias de la persona, la maternidad, la paternidad,... pudiendo ser una mujer gemela de su madre o hija de su abuelo. Rompemos de nuevo la familia, núcleo de la sociedad y de la solidaridad.
- Alimenta la idea de que algunos hombre pueden tener el dominio total y absoluto sobre la existencia de los demás.
- Favorece la idea de que el valor del hombre y de la mujer no dependen de su identidad como personas, sino de las cualidades biológicas que pueden apreciarse, y que por tanto, pueden ser seleccionadas.
- El hombre no es sólo un conjunto de células, órganos, genes. Es cuerpo y alma. Tiene motivaciones, ideales, experiencias vivenciales y no sólo físicas.
Aún no hay una experiencia suficiente ni con animales, además los ensayos que se han realizado no han llegado a buen puerto.
Los intentos realizados por el momento han sido infructuosos. Por ejemplo, para clonar a la oveja Dolly se requirieron 200 intentos. El éxito no ha superado un 3% de los experimentos. Se han producido anormalidades, abortos, y todo tipo de defectos y mutaciones. No se sabe si el individuo clónico puede ser portador de graves anomalías genéticas.
La valoración ética de este tipo de clonación es negativa, y desde la comunidad científica se apela al sentido de la responsabilidad.
Sobre la clonación no reproductiva o terapéutica diremos:
Se podría pensar que en este tipo de clonación no existen reparos éticos, sin embargo, la obtención de un embrión artificial con el objeto de hacer cultivos, plantea el problema de haberlos creado. Haber creado un embrión humano que ha de ser destruido para poder establecer los cultivos celulares deseados. Se habría creado un embrión para experimentación.
Aquí volvemos al tema del aborto, ¿desde cuándo es persona una persona?.
Se constata que podría ser innecesaria la utilización de la clonación no reproductiva si llegan a hacerse realidad clínica los datos experimentales emergentes que parecen indicar la posibilidad de establecer cultivos de tejidos a partir de células madre que están presentes en órganos de personas adultas. Aquí aportamos por ejemplo el caso del paciente de cardiología que salió hace pocas semanas en lo medios de comunicación, en el que, a partir de células de su propio cuerpo, se han podido reconstruir los tejido dañados en su corazón tras un infarto de miocardio.
Son tantos los aspectos éticos negativos en cuanto a la clonación que ni siquiera la comunidad científica lo tiene claro. Para maquillarlo un poco, han inventado la figura del pre-embrión, pero no está claramente definido, ¿por qué? A lo mejor no tiene respuesta.
El hombre se apodera de la "libertad" de jugar con la vida del hombre al no considerar al embrión como una vida humana en desarrollo. Desde la Iglesia se nos recuerda que estas técnicas, que se introducen en nombre de la salud y del bienestar, suponen una auténtica discriminación entre los seres humanos en virtud de su tiempo de desarrollo. De este modo, un embrión vales menos que un feto, un feto menos que un niño, un niño menos que un adulto. Trastocando el imperativo moral que impone, por el contrario, la máxima tutela y respeto precisamente a los más débiles, a quienes no están en condiciones de defenderse y manifestar su dignidad intrínseca.
Podríamos concluir afirmando que estos tres aspectos: aborto, eutanasia y clonación, atentan contra la vida humana, vulneran los derechos humanos fundamentales, en virtud del hecho de ser hombre y eximen el derecho de igualdad, el derecho a la vida y a la integridad física y mental, desde el primer hasta el último momento de sus existencia.

JUICIO

La primera pregunta que probablemente nos venga a la cabeza es pensar ¿porqué ocurre esto? ¿quiénes son los responsables de ésta situación de verdadero exterminio sobre la vida?
Recordemos que ya Malthus en el siglo XVIII auguraba que si la población mundial seguía creciendo el planeta caminaría inexorablemente hacia la ruina. Ese mito de que somos demasiados sigue siendo argumentado por los estados y organismo internacionales como justificante de las políticas de planificación familiar, es decir, de exterminio. Y además son las víctimas, los débiles los responsables de su malnutrición, de su subdesarrollo, de sus problemas sanitarios endémicos, de la destrucción del medio ambiente, son muchos y viven hacinados, tiene demasiados hijos, y por lo tanto, no tiene para dar de comer a todos, no tiene medios para educarse, están constantemente en guerras tribales, y la conclusión para ellos es que sobran. Que de forma más eufemística podríamos decir que se necesita aplicar sobre ellos políticas de desarrollo sostenible de la población. Y la sostenibilidad ya ha sido fijada: 7280 millones de personas según el Fondo para la población de las Naciones Unidas. Aunque para el embajador de EE.UU. en España, con el fin de proteger la naturaleza, dejaría la población en 2.000 millones. La pregunta es si el se incluiría en los 2.500 millones de personas que según el mismo sobran.
Pero la realidad echa por tierra éstos argumentos de superpoblación.
- No faltan alimentos. Con la producción actual se podría alimentar a 10.000 millones de personas. Un niño americano consume lo que 442 niños etíopes.
- La densidad de población no está relacionada con el aumento de la mortalidad. Suiza, por ejemplo, no tiene recursos naturales, y mantiene unos niveles de densidad de población de 160 hab por km2. Holanda de 354, Alemania 246,.... y por otro lado tenemos a Bolivia con 6 hab/km2, Etipio 44, Tanzania 47, Argentina 18,.... La conclusión es que los países ricos son los que más alta densidad demográfica tienen.
- Y si hablamos de consumo, un niño europeo consume 50 veces más de energía y produce 50 veces más de basura y desechos tóxicos que un niño que viva en África.
Luego la situación actual no es un problema de explosión demográfica, ni de superpoblación, ni de agotamiento de los recursos. Es un problema de injusticia a nivel económico, político, social, de reparto de la riqueza. Ante la cual la respuesta lógica sería el cambio de dichas estructuras, pero se ha optado por acusar a la víctima, por planificar su control.

¿CUÁLES SON LAS ESTRATEGIAS DE CONTROL DEMOGRÁFICO?

Este acusar a la víctima se puso de manifiesto en el informe 2000 (NSSM 200) elaborado por el Consejo de Seguridad Nacional de EE.UU. en el año 1974 y puesto a la luz en los años 90. En donde se decía:
- Los actuales factores de población en los países menos desarrollados suponen un riesgo político, incluso un problema de seguridad nacional para EE.UU.. Los países con interés estratégico para EE.UU. son India, Bangla Desh, Pakistán, Nigeria, México, Indonesia, Brasil, Filipinas, Tailandia, Etiopía, Turquía y Egipto... especialmente aquellos que tienen una población creciente y desigualdades también crecientes). v - En el punto 33 de dicho documento: Nuestro objetivo es que el mundo llegue al nivel de fertilidad de reemplazamiento en el año 2000. Las bases para lograr éste objetivo deben figurar en el Plan Mundial de Población de las Naciones Unidas.
- La localización de reservas de minerales en estos países supone una relación de dependencia de los países industrializados respecto a los menos industrializados... Es posible que empresas extranjeras sean expropiadas a través de gobiernos, conflictos laborales o desordenes civiles. Con ello nuestras reservas se verían comprometidas. Por lo tanto si se reducen las condiciones de crecimiento de la población los riesgos sobre nuestros intereses serán menores. Queda claro que son las materias primas del tercer mundo el interés de estrategia de seguridad nacional de EE.UU..
Y ¿cómo poner en práctica éste control de la población?
En dicho informe se decía:
- Los EE.UU. trabajarán con organizaciones internacionales estimadas y creíbles como la OMS, el Banco Mundial y la UNICEF.
- Tenemos que tener cuidado de que nuestras actividades no den a los países en desarrollo la apariencia de políticas de un país industrializado contra países en desarrollo. Hay que asegurarse en éste terreno. Los líderes del Tercer Mundo deben figurar a la cabeza y recibir el aplauso por los programas eficaces.
Un ejemplo de esto lo tenemos con los premios a la Planificación Familiar que instituyó la ONU, donde China y la India obtuvieron los primeros por su política de descendencia única y por su política de esterilización masiva.
- El arma de los alimentos debe ser utilizada. Los gobiernos del Tercer Mundo que no se sometan voluntariamente al programa de reducción de población deberán ser forzados a esa sumisión por estos medios: denegarles créditos por parte del FMI, incitar a la rebelión a la población hambrienta, llegando incluso a cambios de soberanía. (Como dirá Allan Greg, de la Fundación Rockeffeler, la superpoblación es un cáncer; nunca he oído que un cáncer se curara alimentándolo)

Y ESTAS LÍNEAS ESTRATÉGICAS ¿COMO SE ESTÁN LLEVANDO A CABO?

1.- Con el desarrollo de métodos de anticoncepción y esterilización más "sofisticados", sería mejor decir, más genocidas, y su experimentación y desarrollo sobre poblaciones diana:
  1. La píldora experimentada en Puerto Rico en los años 50
  2. El abortivo Dispositivo Intrauterino o DIU
  3. Los contraceptivos inyectables (Progevera) que se inyectan cada tres meses. Su aplicación es simple y tiene bajo coste. En algunos países se han desarrollados equipos móviles que recorrían los pueblos cada tres meses para suministrar las inyecciones a las mujeres. En algunos casos como en El Salvador la inyección se aplicaba sin que las mujeres tuvieran conocimiento de que se trataba de un anticonceptivo. En Camboya a cambio de una gallina se aplicó a 8.000 mujeres. En Sudáfrica se obligaba en las fábricas a la mujeres a ponerse la inyección bajo amenaza de despido. Este método es ampliamente utilizado por la OMS para estimular la esterilización reversible en el Tercer Mundo. Aun sabiendo que ha sido demostrado los efectos secundario cancerígenos
  4. Norplant: es un anticonceptivo implantable subcutáneamente, cuyo efecto dura durante cinco años. Su experimentación se desarrolló en Bangla Desh. Las mujeres no dieron su autorización ni fueron informadas del alto numero de efectos secundarios que tenía (hemorragias, alteraciones la visión, debilidad extrema, anemia, adelgazamiento..). Si decidían quitárselo (cosa que solo puede hacerse de forma quirúrgica) tenían que pagar la operación y el implante. Un informe de la OMS de 1993 afirmó que el Norplant es efectivo, reversible y apropiado para su uso ya que ha sido experimentado en más de 40 países del tercer mundo con alrededor de 25.000 mujeres. Hoy día en España hay ginecólogos que lo ofrecen.
  5. La esterilización a través de la ligadura de trompas es uno de los métodos. En Colombia es gratuita. Está financiada por fundaciones privadas como La Fundación Ford. En éste país sólo en el año 1987 fueron esterilizadas 40.000 mujeres con la promesa de recibir lápices de labios. Y en la actualidad la asociación Pro-Familia esteriliza diariamente 80 mujeres. En Guatemala una agencia católica denunció la esterilización masiva de mujeres indígenas sin consentimiento previo cuando iban a hospitales estatales a consulta médica o al ser atendida en los partos. En Méjico del total de partos por cesárea en la población indígena el 70% quedan estériles. El caso más sangrante lo tenemos en Brasil donde la `Asociación para el Bienestar de la Familia' fue acusada de haber esterilizado a un millón de mujeres solo en el estado de Guanabara entre 1965 y 1975. Según un informe del ministro de sanidad brasileño de 1993, 25 millones de mujeres en Brasil están esterilizadas, de ellas el 80% era pobre, negra o mestiza. Y así podemos seguir con otros países como Puerto Rico donde en 1965 ya habían sido esterilizadas un 45% de mujeres en edad fértil. O el Salvador, Indonesia, India, Bangla Desh donde en los años 80 se vinculó la entrega de alimento tras una epidemia de hambre a condición de ser esterilizada. Un 80% de las mujeres de esa zona fueron condenadas a la infecundidad de por vida.
Se han descubierto formas de esterilización oculta en alimentos, como en Guatemala donde se encontró sustancias anticonceptivas en los alimentos donados desde EE.UU. para la población pobre.
Se ha desarrollado vacunas anticonceptivas bajo los auspicios de la OMS que pueden ser enmascaradas con la vacunación del tétanos como se denunció en Filipinas, donde se dirigió una campaña de vacunación contra el tétanos sólo a mujeres fértiles con pautas de administración diferentes a las habituales. Unas religiosas, que fueron las que denunciaron el caso, mandaron analizar esas vacunas y contenían sustancias anticonceptivas. Ejemplos de este tipo se han producido también en México, Nicaragua e India.
También las esterilizaciones químicas que consiste en introducir en el útero de la mujer cuando se va a hacer una revisión ginecológica y sin que ella se de cuenta, sustancias irritantes que lo inflaman y bloquean la entrada a las trompas de Falopio. Es un método fácil, de bajo coste (22 pesetas por esterilización) y ya ha sido aplicado un Guatemala con la financiación de una fundación americana (Population Council) y el beneplácito de las autoridades sanitarias.
Y por último UNICEF y el Alto comisionado para los refugiados están promoviendo el uso del aspirador manual endometrial que es un método abortivo utilizado en la primera fase del embarazo, de fácil uso, que no requiere grandes medios técnicos y que ya se está utilizando en Bosnia, Afganistán, Perú y África Central.
Las consecuencias de ésta campaña durante 30 años se está viendo en iberoamerica donde su fertilidad ha sido reducida a la mitad.
Detrás de éstas practicas genocidas, de exterminio tenemos a:
1.- LAS MULTINACIONALES FARMACÉUTICAS como Upjoh, Syntex o Home Products que desarrolló el Norplant y fue financiada por una agencia de ayuda al Tercer Mundo, la americana Agencia Norteamericana para el Desarrollo Internacional y de cuya propagación y sponsorización fue responsable la OMS. Estas empresas se han aprovechado de las políticas de control de la natalidad donde el tercer mundo se ha convertido en un buen campo de pruebas experimentales para sus productos y en un campo privilegiado de venta de material anticonceptivo.
2.- LAS FUNDACIONES E INSTITUCIONES PRIVADAS principalmente americanas son otro eslabón de la cadena en estas políticas eugenistas, propician programas de esterilización, difunden anticonceptivos y dispositivos intrauterinos, presionan a los gobiernos o sobornan a sus mandatarios para la aceptación de estos programas y mantiene campañas de desprestigio de las posturas contrarias a estas políticas, siendo especialmente críticas con la Iglesia Católica como se ve en las conferencias internacionales como la del Cairo. Su financiación corre a cargo de empresas farmacéuticas, capitales privados (Ford, Rockefeller, Bill Gates, Ted Tudner, Packard), de universidades, bancos y del gobierno de Estados Unidos, Japón, Suiza, Holanda,...
Alguna de ellas son:
- Federación Internacional de Planificación Familiar: es la principal promotora del Norplant y de los programas de esterilización. Algunos de sus medidas para reducir la fertilidad de las clases bajas en EEUU eran: transformación de la imagen de familia ideal, la reducción o eliminación de los permisos pagados por maternidad, dificultades en la adquisición de la primera vivienda, la esterilización obligatoria para quien ya tiene dos hijos.
- El consejo de Población Norteamericano que ha desarrollado un agente de control de la fertilidad mezclable con el agua potable que ha puesto en práctica en Egipto. En Brasil desarrolló un plan de esterilizaciones que afecto a 500.000 mujeres.
- Católicos por el Derecho a Decidir: entidad apóstata apoyada por la fundación Ford y cuyo campo de acción es Iberoamérica. Uno de sus principales objetivos es el atacar, ridiculizar las propuestas, enseñanzas de la Iglesia Católica a través de la financiación de medios de comunicación social, principalmente en EEUU e Iberoamérica.
- Salud Familiar Internacional.
- La asociación para la esterilización voluntaria
- Oficina del censo de población
3.- OTRA LÍNEA O ESCALA EN LA ESTRATEGIA ES A TRAVÉS DE LAS ORGANIZACIONES DE LAS NACIONES UNIDAS.
1.- El Fondo de Población de las Naciones Unidas es el instrumento del Banco Mundial y de la Agencia Internacional de Desarrollo norteamericana para introducir políticas en materia de control de la población en los países del tercer mundo. Supeditando la cesión de programas de ayuda al desarrollo a la aceptación de los programas de población.
2.- La OMS (Organización Mundial de la Salud): su financiación depende en gran parte de la aportación externa de empresas farmacéuticas, el Banco Mundial, de la fundación Ford y de la Institución americana Consejo de Población. Ha desarrollado proyectos de investigación sobre el Norplant y como se comentó anteriormente fue denunciada por la participación en el programa de vacunación con productivos abortivos ocultos en Filipinas, Méjico, Nicaragua e India.
El presidente americano Lindón Jonson resumió de manera acertada esta situación en los años 60: " Existen 3 mil millones de personas en el mundo y solamente 200 son nuestras. Tenemos una desventaja de 15 a 1. Si la razón tuviera fuerza, inundarían Estados Unidos y se llevarían lo que tenemos. Nosotros tenemos lo que quieren."

ALGUNAS CONCLUSIONES PARA FINALIZAR:

Como nos hemos intentado demostrar la cultura de la muerte no es algo que se haya generado espontáneamente. Está planificada científica y sistemáticamente.
"Esta estructura está activamente promovida por fuertes corrientes culturales, económicas y políticas, portadoras de una concepción de la sociedad basada en la eficiencia. Mirando las cosas desde este punto de vista, se puede hablar de una guerra de los poderosos contra los débiles". Esto es lo que nos dice Juan Pablo II en la encíclica evangelium vitae; el débil se ve como una amenaza a la calidad de vida del fuerte, como un enemigo a eliminar.
Hay una tendencia actual de ausencia de responsabilidad del hombre hacia sus semejantes, cuyos síntomas son la falta de solidaridad con los miembros más débiles de la sociedad (ancianos, niños, inmigrantes,. ..).
La crisis de la cultura nos lleva a la confusión entre lo que son los derechos y los deberes.
La debilidad de la familia, ha relegado sus responsabilidades al Estado... La familia produce ciudadanos libres porque la familia es seguridad humana y emocional, educación formadora de personas, libertad y autonomía frente al Estado. Por lo tanto hay que debilitar a la familia, eliminar la transmisión de valores como la gratuidad, el sacrificio desinteresado, el amor , la solidaridad, la justicia,... para que sean valores participados desde el poder y los medios de comunicación social los que fragüen los proyectos de vida. La familia es un obstáculo en este plan, una estructura social inconveniente.
El eclipse de la conciencia: donde la dignidad de la vida, de la persona humana se ha perdido en favor del utilitarismo.

¿QUÉ HACER?

- Tomar partido. Hacernos la pregunta ¿de qué lado estamos?
- Promover una cultura de la vida frente a las formas de vida consumistas, egoístas y vacías que nos impone la cultura de la muerte.
- Desarrollar realidades solidarias con las víctimas inocentes.
- Denunciar las causas de estos crímenes en la calle, prestando nuestra voz a quienes no tienen voz..
- Exigir al Estado español que no colabore con estos crímenes
- Exigir a la Unión Europea que combata políticamente todos los atentados sistemáticos contra la vida, que promueva relaciones de justicia con los países empobrecidos
- Exigir responsabilidades a los organismos e instituciones cómplices de estas atentados contra la vida.
- Gritar NO MATARAS.
FUENTE: Dr. Carlos Martínez, Pro-Vida (ONG) Argentina / http://www.infovida.org.ar



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